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Les femmes migrantes, avec ou sans papiers, et les femmes demandeuses d’asile sont particulièrement vulnérables à la violence fondée sur le genre. Si les raisons qui les poussent à quitter leur pays et leur statut juridique sont très variés, ces groupes courent tous deux un risque accru d’être victimes de violences et se heurtent à des difficultés analogues pour y répondre. C’est pourquoi la Convention d’Istanbul interdit qu’une quelconque discrimination dans la mise en oeuvre de ses dispositions soit fondée sur le statut de migrant, de réfugié ou toute autre situation (article 4, paragraphe 3).
Les femmes migrantes, avec ou sans papiers, et les femmes demandeuses d’asile sont particulièrement vulnérables à la violence fondée sur le genre. Si les raisons qui les poussent à quitter leur pays et leur statut juridique sont très variés, ces groupes courent tous deux un risque accru d’être victimes de violences et se heurtent à des difficultés analogues pour y répondre. C’est pourquoi la Convention d’Istanbul interdit qu’une quelconque discrimination dans la mise en oeuvre de ses dispositions soit fondée sur le statut de migrant, de réfugié ou toute autre situation (article 4, paragraphe 3).