Mutilations génitales féminines et mariage forcé sont deux actes qui comptent parmi les violations des droits de l’homme les plus graves à l'égard des femmes et des filles, et également comme des violations des droits de l’enfant: stop à la violence à l'égard des femmes et des filles!
Les mutilations génitales féminines et le mariage forcé constituent des violations des droits de l’homme et des formes graves de violence à l’égard des femmes et des filles. Ces violations se produisant souvent pendant l’enfance, elles constituent également une violation des droits de l’enfant. La lutte contre ces pratiques passe par une approche fondée sur les droits et par une politique intégrée, s’attaquant aux problèmes systémiques plus vastes en jeu dans la société qui engendrent ces types de violence, d’inégalité entre les sexes et de discrimination.
La Déclaration du Comité des Ministres sur la nécessité d’intensifier les efforts visant à prévenir et à combattre les mutilations génitales féminines et le mariage forcé en Europe invite les Etats membres à reconnaître pleinement ces pratiques comme des violations des droits de l’homme qui touchent les Etats européens, à élaborer des stratégies et des plans d’action nationaux et à promouvoir les échanges de pratiques afin de lutter contre ces atteintes aux droits de l’homme.
Le Guide de bonnes et prometteuses pratiques visant à prévenir et à combattre les mutilations génitales féminines et le mariage forcé a pour but de fournir des orientations stratégiques sur les normes, les principes, approches, et les caractéristiques de la réponse intégrée nécessaire pour mettre un terme à ces pratiques. En soutien à ces éléments, le Guide présente également des initiatives actuelles sélectionnées dans un certain nombre d’Etats membres du Conseil de l’Europe pour prévenir, combattre et remédier aux effets des mutilations génitales féminines et du mariage forcé.
► Déclaration du Comité des Ministres sur la nécessité d’intensifier les efforts en matière de prévention et d’élimination des mutilations génitales féminines et du mariage forcé en Europe.
► Guide de bonnes et prometteuses pratiques visant à prévenir et à combattre les mutilations génitales féminines et le mariage forcé (13 septembre 2017).
Mutilations génitales féminines et mariage forcé sont deux actes qui comptent parmi les violations des droits de l’homme les plus graves à l'égard des femmes et des filles, et également comme des violations des droits de l’enfant: stop à la violence à l'égard des femmes et des filles!
Les mutilations génitales féminines et le mariage forcé constituent des violations des droits de l’homme et des formes graves de violence à l’égard des femmes et des filles. Ces violations se produisant souvent pendant l’enfance, elles constituent également une violation des droits de l’enfant. La lutte contre ces pratiques passe par une approche fondée sur les droits et par une politique intégrée, s’attaquant aux problèmes systémiques plus vastes en jeu dans la société qui engendrent ces types de violence, d’inégalité entre les sexes et de discrimination.
La Déclaration du Comité des Ministres sur la nécessité d’intensifier les efforts visant à prévenir et à combattre les mutilations génitales féminines et le mariage forcé en Europe invite les Etats membres à reconnaître pleinement ces pratiques comme des violations des droits de l’homme qui touchent les Etats européens, à élaborer des stratégies et des plans d’action nationaux et à promouvoir les échanges de pratiques afin de lutter contre ces atteintes aux droits de l’homme.
Le Guide de bonnes et prometteuses pratiques visant à prévenir et à combattre les mutilations génitales féminines et le mariage forcé a pour but de fournir des orientations stratégiques sur les normes, les principes, approches, et les caractéristiques de la réponse intégrée nécessaire pour mettre un terme à ces pratiques. En soutien à ces éléments, le Guide présente également des initiatives actuelles sélectionnées dans un certain nombre d’Etats membres du Conseil de l’Europe pour prévenir, combattre et remédier aux effets des mutilations génitales féminines et du mariage forcé.
