

La Convention du Conseil de l'Europe sur la protection des enfants contre l'exploitation et les abus sexuels, également appelée « la Convention de Lanzarote », impose la criminalisation de tous les types d'infractions à caractère sexuel perpétrées contre des enfants. L'article 23 de la convention érige en infraction pénale la sollicitation d'enfants à des fins sexuelles par le biais des technologies de l'information et de la communication ("grooming").
Le « Comité de Lanzarote » (c'est-à-dire le Comité des Parties à la Convention est l'organe établi pour veiller à l'application effective de la Convention de Lanzarote par les Parties.
La Convention du Conseil de l'Europe sur la protection des enfants contre l'exploitation et les abus sexuels, également appelée « la Convention de Lanzarote », impose la criminalisation de tous les types d'infractions à caractère sexuel perpétrées contre des enfants. L'article 23 de la convention érige en infraction pénale la sollicitation d'enfants à des fins sexuelles par le biais des technologies de l'information et de la communication ("grooming").
Le « Comité de Lanzarote » (c'est-à-dire le Comité des Parties à la Convention est l'organe établi pour veiller à l'application effective de la Convention de Lanzarote par les Parties.